mardi, janvier 10, 2006

Untitled poem

Every time you say good bye
It brakes my heart a little
And for every time I'v made you cry
You know I'll die a little
Because I love you, I love you
Like the thunder likes the lightning
Like the wind likes the rain

Every time you say good bye
I see what love is
I see that love is the strength and the weakness
And for every time I'v made you cry
I feel the tenderness and the love that's between us

When you'r walking in the shadow of the valley
I'll be walking right beside you to take the darkness away
Oh yes I'll be walking like we always walked
Because I love you, I love you
Like the thunder likes the lightning
Like the wind likes the rain

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Great little poem!

Anonyme a dit…

c ki l'hereuse élue ? petit cachotier ... serait elle sup comienne ?

Anonyme a dit…

Je Suis Amoureux d'une Fleur sauvage
Un Sorcier vaudou m'a peint le visage
Son gri gri me suit au son des tambours
Parfum de folie Magie de l'Amour

Anonyme a dit…

C' est un poème d' une rare beauté qui ( accrochez vous pour les âmes sensibles et les narrow-minded) devrait rappeler à ceratains une scène dans un film à succés. "4 mariages et un enterrement" Et oui C' est un poème destiné à un homme dont un autre homme était fou amoureux.
Ps: Le secret de Brokeback moutain
magnifique réalisation de Ang Lee.
A vos mouchoirs les filles. pareil pour les garçons.

adresse msn : ujfstapsraiders007@msn.com
cam photos
a+++


Bleus funèbres




Arrêter les pendules, couper le téléphone,
Empêcher le chien d'aboyer pour l'os que je lui donne,
Faire taire les pianos et les roulements de tambours
Sortir le cercueil avant la fin du jour.


Que les avions qui hurlent au dehors
Dessinent ces trois mots Il Est Mort,
Nouer des voiles noirs aux colonnes des édifices
Ganter de noir les mains des agents de police


Il était mon Nord, mon Sud, mon Est, mon Ouest,
Ma semaine de travail, mon dimanche de sieste,
Mon midi, mon minuit, ma parole, ma chanson.
Je croyais que jamais l'amour ne finirais : j'avais tort.


Que les étoiles se retirent, qu'on les balaye
Démonter la lune et le soleil
Vider l'océan, arracher les forêts
Car rien de bon ne peut advenir désormais.


Wystan Hugh AUDEN ( Funeral Blues )

Anonyme a dit…

Voici le même poémes mais en version originale et je préfère cette version .
L'anglais donne aux sentiments une bien plus grende coloration.
Funeral Blues



Stop all the clocks, cut off the telephone,

Prevent the dog from barking with a juicy bone,

Silence the pianos and with muffled drum

Bring out the coffin, let the mourners come.



Let aeroplanes circle moaning overhead

Scribbling on the sky the message He Is Dead,

Put crepe bows round the white necks of the public doves,

Let the traffic policemen wear black cotton gloves.



He was my North, my South, my East and West,

My working week and my Sunday rest,

My noon, my midnight, my talk, my song;

I thought that love would last for ever; I was wrong.



The stars are not wanted now: put out every one;

Pack up the moon and dismantle the sun;

Pour away the ocean and sweep up the wood,

For nothing now can ever come to any good.



W. H. Auden

Anonyme a dit…

Entre L’absolu et le néant
Entre Le ciel et la terre
Entre L’Amour et la haine
Entre le tout et le rien……
Il n’y a qu’un fragment de limite, un imperceptible filament…. C’est tout ce qui nous sépare, Moi, Toi.

Je pensais définitivement ne plus t’écrire, fatigué de ton silence, de ton absence et ton insouciance

Mais le mauvais temps (les 5 degrés d’hier matin) la pluie qui s’acharne a teinter ce printemps de sa grisaille m’a redonné cette énergie pour griffonner ces quelques pensées…Une dernière fois !

D’abord je voudrai te dire que je suis déçu de beaucoup de choses et par-dessus tout les personnes que tu donnes l’impression de t’être entouré et que te plais à propulser au rang de tes proches alors que ce ne sont que des petits calibres, mi malades mentaux collants à souhait ( Roumi ) mi adolescent immature dévergondé ( Petit Omar ) mais là n’est pas le sujet de cette missive.

Je voulais aussi que tu t’enlève de la tête que j’eusse jamais tenté de te harceler, le malade mental cité çi dessus se plait à me le répéter, te réduisant ainsi à une pauvre victime et moi au bourreau insensible….Idée que je ne pourrai jamais accepter et de toutes façons il n’y aura plus de doute à la fin de cette lettre puisque je ne chercherai plus à te revoir, à t’écrire ni même à penser à toi.

J’ai compris depuis quelque jours que tu voulais faire coïncider une note à mon intention avec mon anniversaire, Je vais ici te dire ce que j’en pense et tu feras de toutes façons comme bon te semble : D’abord les morts lentes et annoncées je n’y crois pas, Si tu voulais vraiment quitter la blogosphere tu l’aurai fait tout de go et pas en continuant à poster des commentaires, laisser traîner des notes par çi par là et à plus forte raison lorsque tu remarque que très peu sont les commentateurs qui s’en soucient : c’est peut être une façon pour toi de tester ta popularité mais la vie est loin d’être un roman à l’eau de rose et après les supplications que t’ont fait certains qu’attend tu de plus d’eux qu’ils se mettent à genoux, qu’ils te disent que sans toi la blogosphere ne sera plus la même, qu’ils t’implorent ????

De mon coté je voulais te dire que me consacrer un post serait un privilège que je ne mérite pas car j’ai décidé depuis des semaines déjà de me désintéresser à toi, la vie est trop courte et je ne compte pas comme dit la chanson de courir derrière ceux qui me fuient et de fuir ceux qui m’aiment….Donc sur ce coté je voulais te rassurer….Va, deviens, mûris, évolue, immigre, voyage, fréquente…..Enfin tout ce que tu veux….Je te donne toute ta liberté, moi, c’est fini comme tu te plaisais à le dire….Aujourd’hui je te confirmes c’est une réalité.
Tu ne m’auras plus sur le dos à épicer ton blog ni à défrayer une chronique que je ne veux plus alimenter. J’espère que tu seras heureux et peut être qui sait soulager de lire ça.

Je voulais aussi te dire que si j’ai décidé de commenter sur ce post car comme tu devais t’en douter mon arrivée sur la blogosphere n’était que le résultat de ma recherche de tes traces après ta façon si indélicate d’avoir coupé le contact avec moi, quand j’étais si vulnérable et si faible….Lointains souvenirs dépassés par la réalité d’aujourd’hui.
Aussi ce post en question et son ambiguïté retraçait un chemin que nous avions parcouru ensemble sur la montagne à l’époque ou ta suprématie devant ma vulnérabilité n’avait pas de limite et je me suis cru obligé de chercher l’explication de cet amour que tu laisse transparaître dans ce post devant la haine de la réalité vécue dans la réalité.Et les ambiguités n'ont pas manqué dans d'autres posts....

La réponse je ne l’ai pas et ma force d’aujourd’hui fait que je ne veux plus le savoir et j’en arrive même a avoir peur que le post que tu semble me destiner dans les jours qui viennent n’ai aucune utilité et ne soit que comme la plus part de tes messages de l’extériorisation à vide sans aucune consistance ni utilité concrète juste pour exciter la foule de voyeurs et de relations pathétiques dont tu t’es entouré à tort.

Adieu !