jeudi, juillet 26, 2007

Chanson de la nuit: Galaxie 500

C'est en cherchant l'orgine de la chanson Ceremonie que l'on trouve dans "Marie Antoinette" de mon amie Sophia Copolla et qui dans le film est interprétée par the Radio Dept. dont je vous ai parlé dans un précédent post que je suis tombé sur ceux qui ont crée cette fameuse Ceremonie. Ce sont les Galaxie 500, un nom aussi ringard ne peut être que venu des seventies...
Un petit morceau, sans doute leur meilleur pour avoir une idée sur ce que c'est au juste...



Personnellement, j'adore le clip que je trouve très bien fait. A noter qu'à l'époque les clips n'étaient pas encore légion...

lundi, juillet 23, 2007

Le port du voile est dangereux pour la santé

“La médecine a prouvé que la femme voilée inspire une grande quantité de CO2. Cela entraîne des problèmes pulmonaires et prédispose à l’asthme. La condensation a également des conséquences sur la vue. De fait, l’on constate que beaucoup de femmes voilées depuis longtemps sont amenées à se faire soigner pour des affections pulmonaires et des problèmes oculaires. Par ailleurs, une étude scientifique publiée par une femme médecin vivant au Danemark montre que l’absence d’exposition du corps au soleil chez les femmes entièrement voilées entraîne une carence en vitamine D, qui accroît le risque d’ostéoporose”, lit-on sur le site arabe Elaph.

dimanche, juillet 22, 2007

Have you ever seen the rain?


Cette chanson pourrait paraître ironique en ces temps de canicule où la chaleur étouffante nous cuit, presque.
Des fois, je me sens un peu triste de ne pas avoir vécu pendant les années 60-70, mai 68, la liberation sexuelle, la belle musique, Peace and Love, l'année érotique.... Dommage...
Heureusement, de ces années que beaucoup appellent kitsch nous reste la belle musique....
Envoy !

samedi, juillet 21, 2007

L'emmerdement...


Je suis ennuyé, par la chaleur, la bêtise, la superficialité des blogs tunisiens qui une fois comparés aux autres blogs qui peuplent le net sont plus que ridicules.
Je suis ennuyé par les festivals à la con, les idiotes qui pullulent dans les cafés pseudo à la mode.
Je suis ennuyé par les terrasses où l'on peut pas boire de bière quand il fait 35° à l'ombre.
Je suis ennuyé par tout ce qui fait cette putin de vie qui est la mienne encore pour quelques mois... Je me fais monumentalement chier et il n'y a rien, absolument rien qui puisse y changer quoi que ce soit.
J'ai reçu ce matin un recueil où m'a première publication parait en page 37. C'est bien, cela m'a rendu heureux pour quelques instants, mais m'a rappelé que si j'étais resté ici, rien de cela ne serait arrivé...
Il y a des destins qui sont fais pour voguer, pour voyager, pour oublier aussi, parfois...
L'un de ces destins est le mien.

vendredi, juillet 20, 2007

Interpol


Non, je ne vais pas parler de l'organisme international qui envie la police tunisiennes pour ses moyens et sa liberté d'action, mais d'un groupe de rock assez intéressant.
Dommage, je n'ai pas trouvé de morceau sur You tube qui soit vraiment bien alors on se contentera de l'illustration de la pochette, si ca vous intéresse vous pouvez toujours faire un tour sur eMule.

mardi, juillet 17, 2007

On continue un peu en musique, le joli cyle que nous avons commencé ensemble. Ce soir, The Radio Dept. Un groupe que j'ai découvert grâce à mon "amie" Sophia Copolla et qui m'a fait découvrir plein de jolis morceaux. C'est normal que l'on soit amis, nous avons les mêmes goûts musicaux et j'aime beaucoup ses films...
Merci Sophia...


Les notes du moment...

Un peu de musique désuette et triste pour se détendre un peu et peut être oublier...

mercredi, juillet 11, 2007

Paroles de circonstance...

They say it fades if you let it,
love was made to forget it.
I carved your name across my eyelids,
you pray for rain I pray for blindness.

If you still want me, please forgive me,
the crown of love is fallen from me.
If you still want me, please forgive me,
because the spark is not within me.

I snuffed it out before my mom walked in my bedroom.

The only thing that you keep changin'
is your name, my love keeps growin'
still the same, just like a cancer,
and you won't give me a straight answer!

If you still want me, please forgive me,
the crown of love has fallen from me.
If you still want me please forgive me
because your hands are not upon me.

I shrugged them off before my mom walked in my bedroom.

The pains of love, and they keep growin',
in my heart there's flowers growin'
on the grave of our old love,
since you gave me a straight answer.

If you still want me, please forgive me,
the crown of love is not upon me
If you still want me, please forgive me,
'cause the spark is not within me.
it's not within me, it's not within me.

You gotta be the one,
you gotta be the way,
your name is the only word that I can say

You gotta be the one,
you gotta be the way,
your name is the only word that I can say!

Only one that I can say!

The Crown of love
par The Arcade Fire

lundi, juillet 09, 2007

Du désir de voyager

Rarement, je n'ai ressenti autant le besoin de bouger, de me mouvoir...
Il y a quelques mois, naissait en moi sporadiquement et de manière totalement incontrôlée le besoin de changer régulièrement d'environnement. Un besoin dans le sens métabolique, organique c'est à dire animal, incontrôlé voir obsessionnel du terme.
Bien sûr; on peut envier mes derniers voyages... Cependant, je reste insatisfait, comme si ce qui était important était le mouvement et non le but atteint. Le geste, l'action, et non son accomplissement, son aboutissement. J'ai fait migrer la finalité du geste de son but au geste lui même, créant par là même tout le paradoxe de mon attitude actuelle.



Je serai fort probablement ailleurs dans quelques semaines, entre temps, je m'ennuie, j'attends, je m'impatiente pour (par?) ce que ma vie m'offre et me promet.
J'ai atteins, je pense, cet état rare, terriblement angoissant où rien n'a plus de saveur, que le mouvement; l'inconstance...
C'est pour cela, ou peut être à cause de cela que je suis devenu agressif, jaune, acide avec les gens qui m'entourent.. Ceux qui se demandent pourquoi je suis sec se succèdent à ceux qui ne me reconnaissent plus...
Est ce ma faute, si la solitude, le plaisir de la solitude est si difficile à enterrer ?
Est ce de ma faute si les gens m'ennuient et m'indiffèrent ?

Je me rappelle avec jouissance mes ballades au bord de l'atlantique, un petit livre à la main. Je l'ai lu 3 fois, je n'avais pas le choix, ce qu'il racontait était ma vie et j'aimais bien lire ma vie. J'aimais lire ce que je suis, cela me rendait heureux; me fendre dans la banalité....

Putin que c'est bon d'être seul, boire une bière et avoir la paix.... Fermer les yeux, puis les ouvrir, danser dans la rue sans raison, écouter un morceau que l'on connait par coeur sous la pluie, embrasser le vent, chasser la pluie avec la langue, tournoyer dans les parcs, s'asseoir puis se relever et encore s'asseoir, lire puis s'arrêter, regarder, observer, sourire, parler, se taire, danser encore, marcher toujours...

Ma solitude, où es tu ? Où t'ai je perdue ?