mardi, janvier 31, 2006
Y a pas de belles filles à Sup'Com
Je viens de jeter un coup d'oeil sur l'album d'un ex gars de l'IPEST, c'est qu'ils en avaient des belles filles... Alors où sont elles parties? Toutes vers l'export ?
On ne reste qu'avec les voilées et les coincées...
On devrait, pour les filles, faire une selection sur le physique aussi (je rigole bien sur!). En tout cas, c'est affligeant !
lundi, janvier 30, 2006
Masturbation ? Lé ouah ! Ihchem !
C'est toujours curieux de voir les idées des autres sur des sujets aussi stupides, insipides et vulgaires que la masturbation féminine.
La chère marmar se trotille l'esprit et poste des messages d'une longueur incomensurable pour défendre sa thése de la "non universalité" de la masturbation des les femmes. Les femmes tunisiennes seraient exemptes de ce "vice". Alors soit ce ne serait pas la première abérration qui toucherait nos tendres femelles, mais pourquoi diable en faire tout un sujet de discussion.
Est ce que c'est si important d'en savoir plus sur la question ? MarMar seule le sait.
Ratage?? oui oui...
Oui encore un. Ca fait donc deux pour cette période.
Ce qui remonte un peu le moral est que je ne suis pas le seul à l'avoir raté mais est ce une raison?
Me retournant vers celui qui était à ma droite, je voyais qu'il ne faisait rien du tout. Encore moins que moi (je fournissais au moins un effet pour comprendre).
A ma gauche, notre petite tête à claque moyennement efféminé était en pleine transe, il écrivait encore et encore... Barra laouj 3alih ce qu'il écris. De toute façon, il écrivait plus que moi.
Ce que je n'arrive pas à comprendre est la raison de cet acharnement des profs à nous martyriser.
Est ce que cela fait partie du programme à sup'com d'en faire baver aux élèves ?
Il parait même qu'ils complotent entre eux : "Du moment que l'examen de théorie de l'information a été simple, celui de transmission doit être plus consitant."
Mais quelle est la relation entre les deux ???
Quelqu'un peut il m'expliquer?
Je me rappelle quand j'avais visité Sup'Elec il y a quelques mois, les notes des élèves variaient entre 16 et 19... oui oui !!
Chez nous, le max des moyennes est de 14 !
Sommes nous bêtes à ce point ? Sans doute que non.
Je me rappelle le doux temps de la prépa, là au moins je n'avais pas de superbes notes mais je savais au moins que je ne serais pas perdu dans l'examen...
Hassilou, nikbir ou nansa...
* photo extraite de In'Times 2004 - Journal de l'INT.
vendredi, janvier 27, 2006
Qu'est ce que être tunisien aujourd'hui?
Je suis vite rentré pour essayer de me changer les idées. M6music Rock passe pour une fois des titres que j’aime et je sens le besoin profond de faire chier le monde qui m’entoure, mais je n’ai pas trop envie de les ennuyer avec mes pseudos échecs…
J’ai essayé de lire quelques pages du journal, disons que ça n’aide pas à se mettre de bonne humeur.
Le Hamas a gagné en Palestine, ça m’a fait chier. Je ne sais plus trop quoi penser de la démocratie, est ce que c’est bien de la donner à des personnes qui vont élire des extrémistes comme dirigeants ? Enfin, ce n’est pas le sujet de post…
En sortant, il y avait toujours ces masses de gens qui entraient à la mosquée. Ils portent tous des « chlékas », ils ont peur de se faire piquer leurs souliers… Un comble pour un lieu de prière où les gens vont pour être pieux. Paradoxes de croyants.
Je ne sais pas s’il y a des visiteurs qui ont regardé le débat hier soir sur France 2 : Qu’est ce que être Français aujourd’hui ? Cela m’a rappelé la discussion animée il y a quelque temps sur ce blog.
Alors je remets la question au goût du jour sans donner mon avis.
D’après vous, c’est quoi être Tunisien aujourd’hui ?
Donnez 3 raisons simples et concrètes.
Merci.
dimanche, janvier 22, 2006
Le ciel de l'oubli
J’ai regardé le ciel et j’ai pensé, revu, repensé tout ce qui, il y a deux ans de cela, m’avait fait tourmenter pendant une année et demi. Des jours sont passés, des pensées sont révolues, j’ai marché et fuis des kilomètres pour changer d’air, changer de vie l’instant d’un voyage, loin de tout. Paris est venue à mon secours, ma ville préférée celle que j’aime et qui me comprend.
J’ai passé tous les jours du mois d’août dans un seul petit parc, assis sur un banc. J’ai fais 28 photos, du même cloché, 28 photos sur le temps qui passe, la chaleur, la lumière et la pluie.
J’ai passé des jours à ne rien faire que marcher, errer sans but de ruelles en parcs… De rencontre en rencontre, passant le temps, passant la vie. J’ai parlé avec Paris et ses gens.
Puis je t’ai revu sur les marches de ce Montmartre qui était le mien.
Tu étais étonnée. Je t’ai dis que je séjournais pas très loin, chez un ami. Tu riais.
On a marché deux jours ensemble. J’ai bu une bière, tu as pris un cola.
J’aime les excès, toi toujours aussi raisonnable.
Je t’ai dis adieu à une station de métro, celui qui t’emmène loin de moi, de mes pensées.
Je me suis retourné et tu fuyais déjà. Je t’oubliais un peu…
Je marchais de plus en plus vite, de plus en plus loin…
Dehors la lumière était rouge, un soleil immense se reflétait sur la seine.
L’ambiance surréelle des adieux, ceux qui nous font du bien.
Entré dans un bar, une, deux, trois… Je ne sais plus combien j’ai bu.
Un ami est venu, m’a rassuré, j’ai encore bu. Cette nuit là je l'ai passée dans la rue. Cette nuit d’adieux que je voulais terrible.
Vers 5 heures du matin, il faisait encore chaud. Je te savais lointaine.
J’étais content, rassuré, guéri du mal que tu étais devenue pour moi.
Les jours se lèvent si lentement sur Paris…
Les jours d’après étaient plus faciles à supporter... Je suis sorti en boite et j’ai connu d’autres. J’ai embrassé et fais l’amour avec toutes celles que j’ai trouvé, celles qui voulaient bien de moi.
De la négligence de soi se crée l’amour de soi. Et de l’oubli de toi, renaît l’autre.
vendredi, janvier 20, 2006
J'aime pas les révisions...
Franchement, je n'aime pas ces quelques jours que l'on nous donne, où l'on est supposés réviser mais où je fais tout sauf réviser... Puis je me reprends, je me dis :"Non ! Faut être sérieux... Les autres sont sans doute en train de réviser..."
Alors je me met derrière mon bureau, un regard contemplatif sur la pile de policopiés qui se tassent. J'ai l'impréssion de les connaitre par coeur tellement je les ai regardé.
Ils m'ennuient.
121 pages d'antennes
110 pages de réseaux locaux
70 pages de systèmes de géstion de bases de données
128 diapos de transmission du signal
90 pages d'optoéléctronique
une bonne centaine de pages de rechèrche opérationnelle.
Et pour finir un peu de crypto...
C'est pas possible à la fin ! C'est énorme tout ca ! Qui peut bien tout savoir ?
Pas étonnant donc que tous font des fausses copies. Je suis encore parmis les seuls (avec quelques déspassés) à ne pas avoir cédé à cette mode qui gangrène cette école. Tricherie et copie sont devenus une véritable compétition dans cette école.
Dernière mode, les fausses copies sur les gros téléphones mobiles de 3ème génération. Et puis quoi encore ?
Le pire, enfin ce qui énérve le plus, c'est que ces gens là ont de meilleures notes aprés mais quand tu leurs poses des questions sur le cours ils ne connaissent presque rien. C'est aberrant.
Mais où vas t-on? forme t-on des copieurs ou des ingénieurs?
Au lieux de faire chier le monde avec mes problèmes je ferais mieux d'aller observer mes cours... Dommage, je ne serais pas au meet up... Je passe encore des exams jusqu'à lundi prochain :-(
mercredi, janvier 11, 2006
Ennuis et dépendances
Marquons cette journée d'un grand E, comme celle d'hier a été marquée par un grand C.
Ainsi vont les jours...
Je ne veux pas réfléchir parce que je m'ennuis, cet ennuis néfaste pour le cerveau.
Aujourd'hui c'est une journée morte, je ne fais rien. Je m'ennuis.
mardi, janvier 10, 2006
Untitled poem
It brakes my heart a little
And for every time I'v made you cry
You know I'll die a little
Because I love you, I love you
Like the thunder likes the lightning
Like the wind likes the rain
Every time you say good bye
I see what love is
I see that love is the strength and the weakness
And for every time I'v made you cry
I feel the tenderness and the love that's between us
When you'r walking in the shadow of the valley
I'll be walking right beside you to take the darkness away
Oh yes I'll be walking like we always walked
Because I love you, I love you
Like the thunder likes the lightning
Like the wind likes the rain
lundi, janvier 09, 2006
Une heure à attendre le bus...
Je regardais le coucher du soleil sur Tunis. La lumière blanche des après midi d'hiver transperçait les gros nuages blancs et gris qui enflaient le ciel et lui donnaient des proportions immenses, infinies.
Un ciel comme celui de Miasaki dans "Le château dans le ciel" ou le plus connu "Voyage de Chihiro".
Le ciel était grand et gros, les oiseaux s'amassaient lentement autour de l'avenue Bourguiba.
J'aime regarder le vol des oiseaux, leur bal doux et rythmé au dessus des arbres...
A début ils n'étaient que quelques dizaines puis, peu à peu, ils ont augmenté en nombre, de plus en plus nombreux, les figures qu'ils dessinaient dans les airs n'étaient que plus gracieuses.
Les bancs d'oiseaux noirs fusionnaient entre eux quelques temps puis se séparaient dans un enchevêtrement complexe mais presque évident.
La nuit tombait doucement sur Tunis.
La brise qui suivit le coucher du soleil donnait une impression de froid assez intense.
On se protégeait sous l’abri mais le froid était plus fort.
Peu à peu, les lumières de la ville apparurent, d'abord faibles puis de plus en plus intenses, l'ambiance devint orange tout autour de nous.
Le vent gagna d'un coup en force et les premières gouttes de pluie commençaient à s'écraser sur le sol, faisant un grand bruit sur le toit en tôle de l'abris.
Une demi heure était passée, des personnes étaient venues, d'autres étaient parties, mais toujours pas de bus.
La pluie et le vent s'intensifièrent. En regardant le sol je voyais que la pluie venait vers nous comme des vagues portées par le vent. Des salves de grandes gouttes balayaient la rue en d'amples mouvements, tels un drap que l'on étale.
Les gens couraient dans la rue pour se cacher. Ils ne pouvaient pas voir le beau spectacle dont ils étaient acteurs... Jamais je n'avais vu la pluie aussi belle, aussi gracieuse. Elle était intense et douce.
Elle dura 10 minutes, nous songions à partir mais nous sommes restés encore un peu plus.
Au bout d'une heure le bus et venu et nous sommes rentrés...
J'étais heureux d'avoir vu le coucher du soleil sur Tunis, la pluie, le vent, les oiseaux et l'amour...
Va, vis et deviens
En gros, l'histoire est celle d'un enfant éthiopien envoyé par sa mère clandestinement avec une dame juive éthiopienne en Israël pour échapper à la famine et à la mort presque certaine à la quelle il est voué s'il reste avec elle.
Après cette séparation difficile, l'histoire peut commencer. On suit ainsi l'enfant petit à petit qui découvre un nouveau monde, fait la connaissance de nouvelles traditions et de nouveaux modes de vie. Le film réussi très bien à rendre compte de cette vie différente à laquelle l'enfant doit faire face. La déchirure et la nostalgie d'une mère et d'un pays trop vite quittés, clandestinement, sans adieux ni sentiments.
La mémoire de la mère quittée hante tout ce film et malgré la grande bonté de se nouvelle mère Israélienne (jouée avec une grande justesse par la très belle Yael Abecassis) l'enfant reste profondément attaché à ses racines mais réussit cependant à s'intégrer tout en gardant en mémoire cette mère lointaine à laquelle il imagine envoyer des lettres d'amour.
C'est aussi une dénonciation de injustice flagrante à la quelle font encore face les Falachas, ces juifs noirs: entre racisme, xénophobie et haine de toutes parts. Le film réussi bien à retranscrire cette ghettoïsation de la nation juive. Il mène même une ellipse un peu osée sur la fin de l'état d'Israël dont serait responsables les israéliens eux mêmes.
Cependant, ce que je retiens, c'est bien plus que la dénonciation politique, qui demande discussion, mais la magistrale illustration de la destinée d'un garçon, de son enfance jusqu'à sa jeunesse en passant par son adolescence. Radu Mihaileanu s'est donné à un exercice difficile: Comment retranscrire des années de vie sans tomber dans l'ennui et la lenteur. Tout est juste, bon et bien proportionné.
Peut être que l'on regrette un peu le ton des fois trop lyrique que prennent les choses. Mais il n'en reste pas moins que ce film est une excellente leçon de cinéma et de maîtrise scénaristique.
Je ne sais pas ce qu'en pense mon scénariste préféré mais moi j'ai adoré. Et donc je vous le conseille vivement!
samedi, janvier 07, 2006
The Arcade Fire
Sans doute que l'on entendra encore parler longtemps de ce nouveau talant qui monte, monte, monte...
Je vous conseille leur très beau site web : http://www.arcadefire.com
vendredi, janvier 06, 2006
Qui es tu pour me juger ?
J’ai reçu aujourd’hui un commentaire.
Extrait : « Mon fils,
Ton cri de détresse est venu jusqu'a moi, un cri de douleur et de désespoir...une perte directionnelle....passagère j'espère.....
Apparemment ta bi culture t'a plus porté préjudice mentalement qu'elle aurait dû et c'est une donnée que tu dois analyser profondément... […] a religion est une forme d'apaisement, je conçois que tu en sais trop peu de par ton éducation [...] »
Mais pour qui te crois tu pour me considérer comme ton fils ?
Je ne suis pas ton fils, même si je l’étais j’aurais honte de ce que tu m’aurais appris, inculqué, et de tout ce que tu représente pour moi de néfaste, d’idiot, de naïf et de bête.
Oui, je suis biculturel et j’en suis fier. Oui je suis Tunisien et Hollandais, je ne suis pas l’un ou l’autre. Oui, ces deux origines sont indissociables de mon identité.
Fier de vivre et d’appartenir à ce pays dans le quel j’ai grandis. Fier de Carthage, de Ibn Khaldoun, de Tahar Hadded, et fier de tout ce qui fait que je suis Tunisien. Car on n’est pas Tunisien par la religion mais par la culture, l’histoire qui est derrière notre pays et qui la représente parfaitement ; multiculturelle et riche de 3000 ans d’histoire et non que de 1000 ans de décadence.
Je suis Hollandais aussi, j’aime la musique hollandaise, les valeurs hollandaises de tolérance et d’ouverture. J’aime les filles hollandaises aussi. J’aime ce qui est humain et bon dans cette culture qui est la mienne et que tu n’as pas le droit de juger car tu ne la connais pas.
Je suis Tunisien et Hollandais par le sang, la culture et l’histoire. Je ne suis ni musulman, ni chrétien, ni juif. Je suis tout ce que le monde engendre et qui créer notre identité humaine.
Mais oui en effet, tu ne peux pas comprendre l’altruisme, cela te parait étrange, presque une maladie, une différence inacceptable… Tu n’as rien compris à la vie, toi qui crois trouver dans la religion une échappatoire…
La religion ne t’apporte rien que des mirages de certitude.
L’ignorance des belles choses de la vie te rend arrogant face au reste, tout ce qui diffère de toi, de ta vie, de ta vision des choses. J’ai peur de reprendre la fameuse maxime : « Différent, loin de me nuire, tu m’enrichis » mais l’occasion est parfaite pour te la rappeler.
La diversité est une chance inouïe et j’aurais tant souhaité que chacun soit comme moi un produit de l’humanité mondialisée. Borné, bercé par la certitude, tout le monde se croit supérieur à l’autre, meilleur et parfait.
Je suis Tunisien et Hollandais, mais avant tout citoyen du monde, de l’humanité dans tout sa diversité. J’aime les femmes et les hommes pour ce qu’ils sont et je ferais de ma vie ce que je voudrais, non ce que les hommes, la religion ou toute idéologie m’obligera à faire.
Je bois, je fais l’amour, je lis, j’écoute, je regarde, je jouis, je profite, j’apprends, je voyage, je rencontre. Je suis heureux, triste, enragé, engagé, fou, rangé, révolté, athée, spirituel, et tout le reste.
Mais avant tout, je vis. Je vis librement loin de vos sermons et vos jugements.
Je suis libre.
jeudi, janvier 05, 2006
TunTel : La vache se fait désirer
http://www.webmanagercenter.com/management/article.php?id=1050
Bien sûr tout cela reste flou, on ne sait ni pourquoi, ni comment, ni la raison du retrait de 3 opérateurs en lice.
Sans doute que beaucoup de tractations se font en coulisses mais TunTel et le gouvrnement devraient être un peu plus transparants par rapport à tout cela.
En attendant, pronostiques et rumeurs vont bon train...
Un Net trop googélisé !
- Consulter ma boîte mail sur gmail
- Lire l'actualité sur Google news
- Consulter les rapports de www.supcomiens.com sur Google Analytics
- Voir que ce nous avons touché sur Google Adsense
- Ecrire dans mon blog sur blogger (propriété de Google)
- Faire quelques rechèrches de temps à autres qui me mènent sur des sentiers inconnus en dehors de la pshère Google.
Quand la vie devient poncutée par un seul service, un seul site web qui gère toute les choses que l'on fait sur le net et que l'on se cloitre sans forcement s'en rendre compte dans un monde complètement googélisé, on réalise bien vite compte que l'on passe à côté de quelque chose d'irremplaçable: Le net en lui même.
Google, bien que moteur de rechèrche trés puissant, reste cependant trés limitant pour quelqu'un qui souhaite en savoir plus sur n'importe quoi... Ce que Yahoo! ou MSN offrent bien. Des liens par 10aines vers des choses dont on a pas forcement desoin mais qui sont intéréssantes parce qu'elles nous apprennent autre chose. Où est passé le temps où l'on se plaisait à cliquer sur ce qui nous plaisait, que l'on découvrait un truc super au détour d'une URL ? Révolues les petites virées cybernétiques qui ont donné le sens de la métaphore du surf...
Je mettrais même en doute la force d'indexation de Google. Vous avez sans doute remarqué qu'il n'affiche plus le nombre de pages indéxées sur sa page d'acceuil. Mais aussi en cherchant supcomiens.com on n'aboutit à aucun résultat, alors qu'avec MSN search ou Yahoo!, on obtient des résultats nettemment meilleurs...
Alors Google est-il encore le meilleur ?
Sans doute que non. Le net et ses usages évoluent trés vite. Peut être trop vite pour ce géant tantaculaire qu'est devenu cette entreprise. Quand le profit l'emporte sur l'innovation, quand les défis du début se transforment en enjeux économiques, on peut se poser beaucoup de questions quand à la perrénité des services et la populatité de cet acteur incontournable de la vie du Net.
Google ne doit pas oublier que les internautes sont volages. Ils pourraient l'abondonner aussi vite qu'ils l'on adopté.
mercredi, janvier 04, 2006
De bonnes résolutions
1- De l'intérésser un peu plus au cinéma en me remettant à première ou à Studio aprés 4 ans d'abscence et de manque cinématographique.
2- De me concentrer un peu plus encore sur mes études, vu que c'est imporant, enfin c'est ce que l'on me dit.
3- Etre le meilleur que je peux avec ceux que j'aime.
Voila 3 résolutions qu'il faudrait bien que je tienne vu qu'elles ne sont pas nombreuses.
mardi, janvier 03, 2006
Mon téléphone, mon baromètre à état d'âme
Je t'ai envoyé un, deux, trois messages, je ne me rappelle plus...
J'ai été pris d'une folie, j'ai appelé, encore et encore...
Une infinité de fois, jusqu'à ce que tu me raccroches au nez...
Décu, triste, je suis rentré et je me suis mis le disque de Sufjan Stevens pour oublier...
J'aime, enfin j'essaye !
lundi, janvier 02, 2006
France Télécom : Le messie vu par webmanager center
C’est encore un coup de gueule que je lance aujourd’hui après avoir lu l’interview que Webmanager center à fait au PDG de France Télécom en vacances en Tunisie. C’est incroyable la tournure des questions qui sont posées, alors ça donne quelque chose du genre :
Mais pourquoi donc doit on toujours se sentir inférieur ? Pourquoi les tournures "Petit pays, petit marché" ?
Pourquoi est ce
Je n'ai jamais entendu des hollandais, des finlandais ou des coréens parler de leur pays comme petit....
Le fait est que nous sommes encore complexés par notre passé colonial, nous nous sentons inférieurs, incapables. Le pire est que nous ne le sommes pas.
Il m’est arrivé de consulter les cours de Télécoms des grandes écoles étrangères, je dois avouer qu’en beaucoup de points nos cours à Sup’Com sont beaucoup plus poussés que ce qu’ils font en europe. Alors pourquoi est ce que à la sortie de l’école, ces ingénieurs finissent par devenir PDG, grand chefs tant dis que nombre de nos chers Sup’comiens resteront éternellement petit ingénieur exploité chez TelNet par exemple ? Tout simplement : L’absence d’ambition, la castration de la vision. En Tunisie, on n’apprend pas à être inventif, on fait tout pour que personne ne fasse quelque chose et dès que l’on ait preuve d’initiative tout le monde se moque.
Pour en revenir à Tunisie Télécom. Elle pouvait profiter de l’ouverture des marchés des télécoms en Afrique et pouvait devenir leader dans ce grand marché aux potentialités énormes. Il n’en est rien. On ne sait que ruminer des bêtises à la télé… Tunisie Télécom laisse fuir grand nombre de ses compétences vers la concurrence ou vers l’étranger parce qu’ils ne trouvent pas le cadre adéquat pour développer leurs acquis et leurs idées. Alors nous voila dans cette désagréable solution, à vendre la 1ère société du pays ; quand c’est elle qui pouvait prendre contrôle d’autres sociétés. Pourquoi les Français réussissent à être implantés dans plus de 220 pays et territoires et nous à peine dans deux ?
C’est quand même à perdre la tête !
Petit pays ? Petit marché ? Osez encore dire ce genre de choses !
Avoir de l’ambition, savoir défendre sa vision, osons à l’avenir être dignes… Voir loin, voir grand !
dimanche, janvier 01, 2006
Réveillon à Tunis : Kobbi exemplaire !
Pourquoi dans d'autres pays on s'amuse bien en groupe, on regadre les feux d'artifice et nous pas?
Pourquoi ca doit toujours être le kobbi dans cette ville? Les gens ne savent s'amuser que dans les hotels et les réstaurants en compagnie des Super Stars Arabes, des Danseuses Brésiliennes et autres DJ inconnus...
Le réveillon du 31 est une tradition en Tunisie, il ne faut pas avoir peur de le dire, fêtons le alors comme il le faut. Que l'on fasse la fête dans les rues, que les gens partout dans le monde voient qu'ici aussi on peut s'amuser à Tunis. Le 1er Janvier, on montre sur toutes les télés du monde les festivités dans les autres pays, pourquoi pas nous ? Ca serait un superbe coup de pub pour notre pays.
Mais dommage, tounes kobbi...